Rêver d’un ailleurs meilleur
et s’enfuir de l’enfer d’hier.
A l’aurore, s’enfouir dans l’horreur,
d’un nouveau jour tinté d’hiver.
Ramer, désarmé dans la torpeur,
au flot de l’effluve des peurs,
A l’aube, prisonnier, traverser,
le fleuve fané par tant de pleurs.
Et fragilisé, souillé, bafoué,
fouler enfin, le lourd chantier
d’une Terre guerrière.
d’une Terre guerrière.
Comment tolérer l’intolérable?
Comment accepter l’inacceptable?
Comment supporter l’insupportable?
Rêver d’un avenir meilleur et s’enlacer d’humilité, de pauvreté,
Pour que la Foi puisse figer, la force faible de l’inhumanité.
Je veux être messagère sans frontières,
De paix et de lumière,
Pour étreindre les plaies et les peines gravées
Laisser s’épancher les cœurs pillés
Et déposer en leurs abimes solitaires,
Une harmonie très claire, une mélodie solaire.
Au-delà de la douleur et de l'indignation causées principalement par l'écoute des témoignages de vie poignants des migrants rencontrés sur ma route au cours du mois de juillet, je ressors de cette rencontre vivante, avec un sentiment de joie et d'espérance très forte, et avec le sentiment que je peux faire bouger les choses, par ma présence, le don de soi, en étant moi tout simplement.
Ne jamais Capituler
Toujours
Avancer
Avec Foi et Fraternité
Etre dans un accueil évident
En Marche vers la dignité
De l’Homme dans son Intégrité
Et Ne
jamais renoncer
Aurélie (Francia)
No hay comentarios:
Publicar un comentario